"figurez vous une île...d’aspect farouche : le phare à la pointe, à l’autre une vieille tour génoise, où, de mon temps, logeait un aigle. En bas, au bord de l’eau, un lazaret en ruine envahi de partout par les herbes ; puis des ravins, des maquis, de grandes roches, quelques chèvres sauvages, de petits chevaux corses gambadant, la crinière au vent ; enfin, la-haut, tout en haut, dans un tourbillon d’oiseaux de mer, la maison du phare avec sa plate-forme en maçonnerie blanche...."
Alphonse Daudet habita le phare en 1863.
Les Sanguinaires